Un diocèse, une église historique 'déficitaire', 5 ou 6 paroissiens 'pratiquants', la Fabrique à bout de souffle et un legs citoyen de 185 000 $...
En vrac, quelques tenants et aboutissants à considérer dans l’élaboration d’un projet juridiquement, socialement et financièrement acceptable par la Fabrique et par la communauté :
- À qui appartient cette église?
- Un passé communautaire... Oublié?
- La tentation financière des propriétaires actuels
- Le quasi désert culturel à Philipsburg
- Le passé de Philipsburg relégué aux oubliettes : Effacement
- La position ambigüe de la Fabrique
- Les 'intérêts' du diocèse et de la Municipalité
- L’invisibilité de la communauté chrétienne
- La coûteuse mise aux normes
- La rentabilité économique incertaine
- L’indifférence, l’individualisme ambiants
- L’écoanxiété, le néolibéralisme
- L’aculturation, la dévitalisation
- Le 'retrait' des élites
- La centralisation (pôle de Bedford)
- L’isolement post-covid, perte de la fibre communautaire
Le projet que j'ai soumis à la Fabrique
QUE LA DERNIÈRE ÉGLISE DE SAINT-ARMAND, SITUÉE EN FACE DE LA BAIE MISSISQUOI, AU COEUR DE PHILIPSBURG, DEVIENNE UN ENDROIT PHARE OÙ SONT REGROUPÉES LES ORGANISATIONS CITOYENNES DE NOTRE MILIEU...
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